M’aimeras-tu dans le réel, toi qui ressembles
Au succube qui en songe me consolait
Rapidement… puis, sans prévenir, s’envolait :
Y aura-t-il des nuits pour nous dormir ensemble ?
Le bonheur, c’est donc toi, succube à forme humaine !
Es-tu venue à moi… pour ne plus t’envoler ?
N’as-tu pas fait ce choix : des limbes t’exiler
Et courir me montrer le chemin de l’Eden !?
Envoi... |
novembre 18, 2016 à 8:28
Belle nuit étoilée à 5 étoiles et plus si l’on pouvait !
novembre 18, 2016 à 8:40
Merci Martine. Dans mon poème, c’était la pleine lune
novembre 18, 2016 à 8:27
Très beau !
novembre 10, 2016 à 7:29
Un bijou de poésie 🙂
novembre 10, 2016 à 7:41
Merci pour cet encouragement