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Je vois
La peur
La haine
Et l’insassiabilité
Déguisées
Grimées
Caricaturées
L’ego du peuple
J’entends
Les rires forcés
De la faim
Dans le désert des ventres
J’écoute
Un refrain lointain
Des démunis
Dépourvus de Ré-majeure
Je pleure
L’atrabilaire
Qui peine leur coeur
Avec perte et fracas
J’aperçois
En outre
Une hilarité
De lueur d’espoir
Luisant le ciel
Du changement
Et de la révolution.
©Demanjay
Plume_sans_soin
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5 sur 6 votes
août 18, 2017 à 9:09
Felicitations cher
août 18, 2017 à 3:19
toujours garder l’espoir !
août 18, 2017 à 12:17
Un monde foutu !!! Beau poème cher ami poète.
août 18, 2017 à 12:40
Très profond