Ce plan, arrière,
Glissant aux bords ,évasés,
D’une main.
Cette robe-plan, contractée,
ouverte,
par la Fée aux ongles ras.
Est-ce, est-ce
que ce vent–tout ce
qui brûle…-vient de nous,
frissons absolus, falaises,
mouettes au coeur de
l’’Intermittence, l’Emettrice—sa pluie
qui nous rongeait—
miettes, gouttelettes,
blotties
dans la vasque vaste et vague
de Wissant.
Laisse,
ana-Anne, ta marche,
vive, allègre,
imprimée,
parmi les tènements
de nos passés–
entre nos mains métriciennes, du blanc au gris,
au rouge, à Boulogne.
Ce sont sans fin tes mains,
sur la route des Flandres :
Fiat lux noire, imposition
cardiaque des arbres,
rémittents, sur la fièvre
d’Etre ou non.
Brèches blanches au ciel,
mouettes qui nous disent
tous, cœurs-limites.
Envoi... |
septembre 16, 2017 à 4:46
* 5 pour ce magnifique poème, amitié, Tahavi 🙂
http://www.liguepoetes.net/je-taime-a-en-mourir/